Résumé :
|
D’Edvard Munch, on connaît les variations du Cri, œuvre-clé du mouvement expressionniste et expression du malaise de toute une société. De l’homme, on sait moins de choses. Orphelin de mère très jeune, de santé fragile, il est obsédé par la fragilité des corps et n’a jamais noué de lien amoureux durable. Il a du s’opposer à un père exigeant pour devenir peintre, et n’a connu la gloire que relativement tard. « Mélancolique » comme on disait à l’époque, il voyait l’art comme un moyen de clarifier ses problèmes personnels, une sorte de psychanalyse…
|