Wonderball
De Fred Duval, Jean-Pierre Pécau & Colin Wilson, ed. Delcourt.
San Francisco - Août 1983
Neuf personnes sont abattues en neuf secondes dans une rue importante de la ville.
Sur la terrasse d'un immeuble la dominant, la police retrouve neuf douilles d'un calibre peu courant, fabriqué en Italie pendant la Seconde Guerre mondiale.
Leur disposition représente un symbole.
L'inspecteur «Wonderball» Spadaccini (ainsi surnommé par les flics de Frisco en raison de son addiction aux friandises chocolatées) est chargé de l'enquête.
Les prémices de l'investigation en cours lui rappellent une théorie sur l'assassinat de JFK.
Wonderball était en effet présent à Dallas, le 22 novembre 1963, un peu avant 13h...
San Francisco - Août 1983
Neuf personnes sont abattues en neuf secondes dans une rue importante de la ville.
Sur la terrasse d'un immeuble la dominant, la police retrouve neuf douilles d'un calibre peu courant, fabriqué en Italie pendant la Seconde Guerre mondiale.
Leur disposition représente un symbole.
L'inspecteur «Wonderball» Spadaccini (ainsi surnommé par les flics de Frisco en raison de son addiction aux friandises chocolatées) est chargé de l'enquête.
Les prémices de l'investigation en cours lui rappellent une théorie sur l'assassinat de JFK.
Wonderball était en effet présent à Dallas, le 22 novembre 1963, un peu avant 13h...
L'histoire fait la bascule entre le San Francisco de 83 & celui des 60'S / 70'S.
Évidemment, c'est une ambiance que nous connaissons bien. Les ruelles sont sordides, les flics rompus aux codes barbares de la rue, les junkies bien cramés. Les courses-poursuites, dans les artères légendaires de la ville, sont celles que nous avons vues au cinéma....si ce n'est pas particulièrement «innovant», cela n'en demeure pas moins un bon premier tome.
Ensuite, Colin Wilson n'a pas grand-chose à prouver graphiquement & la mise en couleurs donne le bon volume à son dessin.
Fred.
Évidemment, c'est une ambiance que nous connaissons bien. Les ruelles sont sordides, les flics rompus aux codes barbares de la rue, les junkies bien cramés. Les courses-poursuites, dans les artères légendaires de la ville, sont celles que nous avons vues au cinéma....si ce n'est pas particulièrement «innovant», cela n'en demeure pas moins un bon premier tome.
Ensuite, Colin Wilson n'a pas grand-chose à prouver graphiquement & la mise en couleurs donne le bon volume à son dessin.
Fred.