Détail de l'auteur
Auteur Éric Fottorino (1960-....) |
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A la veille de subir une opération délicate, Alcide Chapireau écrit à sa fille, Automne. Il lui avoue l'assassinat de sa mère, Laura, vingt ans plus tôt, portée disparue depuis lors et dont la jeune femme espérait le retour. L'ancien marin, déso[...]document électronique
"Lina n'était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J'en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprena[...]texte imprimé
Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l'étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l'adolescence se révèle ainsi dans toute son humanité, avec ses combats et ses bless[...]texte imprimé
En 1976, Marin a 13 ans et Lisa en a 10. Ils évoluent entre l'oncle Abel, monsieur Archibouleau, monsieur Maxence, le père Juillet, le chat Grizzly et Plouff le chien. C'est l'été et leur enfance se termine.texte imprimé
Récit autobiographique reprenant le fil d'un dialogue rompu entre un père, Michel Fottorino, et Eric, né Chabrerie, son fils adoptif. Après le suicide de celui, qui, dit-il, lui a donné la vie, Eric Fottorino rend hommage à cet homme pudique, re[...]Périodique : revue
Éric Fottorino, Éditeur scientifique ; Didier Pourquery, Éditeur scientifique | Paris : Mondetexte imprimé
En 2018, Paul Gachet découvre une rétrospective des oeuvres de Marina Abramovic. A la fois fasciné et choqué par les mutilations que la performeuse s'inflige, le chirurgien orthopédiste est marqué par cette rencontre. Lorsqu'en 2020, il découvre[...]texte imprimé
Mourant, Brun, fermier dans le Jura, décide d'installer des éoliennes sur ses terres afin d'éviter la faillite et de gommer son image de pollueur. Mo, son fils qui doit hériter, ne supporte pas les bouleversements provoqués par le chantier qui b[...]texte imprimé
L'auteur, journaliste, collaborateur au Monde, qu'il a dirigé de 2007 à 2011, se remémore les 25 années passées dans le journal. Il évoque ses nombreux reportages, les années de crises et les déboires du journal.texte imprimé
Après L'homme qui m'aimait tout bas, où il évoquait selui qui l'avait adopté, E. Fottorino, toujours en quête d'identité, évoque la relation qu'il a entretenue avec son père, obstétricien, issu d'une famille sud-marocaine...